WARD•• a cheerful gardenburger.

satine-59@LJ

Livia 'Levy' WARD

25 ans
21 janvier 1984
Canterbury, Angleterre
Anglaise
journaliste
Kensington

loving you is like cherry pie

W. SUPPORTE TROIS BIG W. EN INCLUANT LE PLUS BIG;

Les Big W. respectivement nommés Bill, Callum et Draven, le doyen, Bill est en vérité le père des deux autres et aussi de Livia même si, en apparences on peinerait à le croire. Il est acquis que les hommes Ward ont toujours eu leurs règles et autres petits rituels exaspérants et ça depuis toujours. D'ailleurs, il y en a une qui ne veut plus en entendre parler, c'est Susan, la mère des deux adultes et la femme d'un adolescent qui en apparences à plus de cinquante ans. Il y a une semaine, elle quittait la maison laissant un phobique de la solitude seul en tête-à-tête avec sa gazinière : autrement dit son plus grand mystère. N'y tenant plus, après deux jours à ingérer des conserves froides, Bill convoqua ses enfants à Canterbury. Livia fut la seule des trois à manquer à l'appel : d'une part parce qu'elle avait autre chose à faire que d'assister à une représentation dramatique de ' Ma cinquantaine, ma bedaine et ma calvitie' doublée de 'Je suis seul comme un rat mort juste parce que j'ai fait du roller dans la maison, tagué le garage des voisins et rasé leur caniche.' et d'autre part puisque le gang des premiers jours ne tardera pas à venir squatter SA maison en vue de remonter le moral du papa faiblard à coup de virées nocturne; il lui fallait être prête. Pendant quelques jours, deux semaines au grand maximum, Livia devra : supporter des boutades lourdingues, voir son père en caleçon, voir ses frères, mettre en péril sa vie sociale et le pire du pire : jouer les entremetteuses entre ses géniteurs.

W. EST UN SPÉCIMEN HERBIVORE BRILLANT;

Déjà précoce avant l'heure, Livia, troisième enfant du couple n'a pu rester que sept mois dans le ventre de sa mère. Alors, son père l'a surnommée Speedy*. Plus tard, elle apprit la marche et l'anglais à une vitesse incroyable, à deux ans la fillette avait déjà un vocabulaire remarquable. S'en suivi des succès, qu'ils soient scolaires ou personnels Livia passait toutes les grandes étapes de son enfance avec brio. Le lycée fut la seule ombre au tableau, refusant de travailler Livia était dans sa période 'd'expérimentation sous toutes ces formes, mais malgré son désintérêt pour les cours, ses facilités l'ont toujours sauvée. Par la suite, le journalisme s'imposa naturellement à elle et son ambition la poussa à faire le reste; il lui fallait maintenant vraiment bosser. Passionnée et acharnée, elle rejoignit 'The London School of Journalisme' et en sortit fraîchement diplômée quelques années plus tard. Aujourd'hui, ses écrits tendent à se spécialiser vers l'écologie, ayant des idées très arrêtées sur le sujet depuis l'enfance Livia aime dire clairement ceux que d'autres pensent tout bas. A Londres, elle est d'ailleurs connue pour ses actions comme par exemple un concept de 'free hug' fait exclusivement aux arbres, récupération de bombes aérosols, collectes etc...

W. AIME LES HOMMES SANS EXCLUSIVITÉ;

Depuis ses dix-neuf ans Livia collectionne les beaux-parleurs, les machos, les romantiques, les blagueurs, les attentionnés... en bref, disons qu'elle a déjà eut dans son lit un prototypes en patchwork de l'homme parfait. Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? En quoi le terme 'mariage'-en admettant que l'on reste fidèle- peut faire renoncer à ce genre de plaisir ? Cela reste juste une belle connerie pour elle. A vingt-cinq ans Livia n'y pense pas une seule seconde, trop occupé à enchainer les histoires multiples, mais pour la plupart sérieuse. A chaque commencement d'aventure elle récidive, c'est plus fort qu'elle. Pour ne pas se sentir enfermer dans une relation et perdre alors la flamme des premiers temps, elle va purement et simplement voir ailleurs, trompant ainsi son copain encore et encore. Certains disent qu'elle est complètement désaxée, ou/et lui conseillent de consulter un psy. Mais la principale concernée ne voit pas le problème, elle trouve normal et juste d'aimer la compagnie des hommes, sans pour autant demeurer célibataire jusqu'à la fin de ses jours. Seule contre tous, face à son idée, levy continue de clamer haut et fort les relations libres, perdant au passage chacun des petits amis fidèles et amoureux auquel elle s'était entichée au profit de jeunes hommes arrogants et quelque peu dégoutants qu'elle croise le temps d'une nuit. Malgré ses pertes Livia, l'idéaliste, reste persuadé que cette forme de relation lui permet de prôner l'égalité et la liberté.

W. EST COMME LE CHAPELIER : TOQUÉE (MAIS PAS AUTANT);

- Elle est végétarienne depuis que 'Cheese' son mouton préféré a été abattu sous ses yeux.
- Elle n'aime pas Britney Spears.
- Elle fait de l'escrime (tous les deux mois).
- Elle fantasme sur les policiers, les pompiers, les médecins, les docteurs, les sauveteurs, les barmen. etc.
- Elle dans le twist à merveille.
- Elle aime boire de la bière, sortir en pub.
- Elle rit peut être un peut trop quelques fois.
- Elle sait user de ce qu'il faut pour obtenir ce qu'elle veut.
- Elle ne supporte pas les odeurs de transpiration dans les transports en commun.
- Elle a déjà acheté un déodorant à un inconnu qu'elle croisait tous les matins dans le bus.
- Elle ne se sépare jamais de son stylo porte-bonheur si jamais elle doit faire une interview express.
- Elle aime se moquer gentiment de l'accent des français quand elle les entend parler anglais.
- Elle n'aime pas faire du yoga car elle se comporte en vraie planche de bois quand il est question de souplesse.
- Elle a un perroquet qui s'appelle 'Chiken'. il ne dit que ce mot.
- Elle se demande encore dans quelles circonstances elle l'a acheté.
- Elle rêve de faire rire un garde Royal.
- Elle a une mémoire sélective.
- Elle a du mal à garder des confidences secrètes.
- Elle n'aime pas rouler en voiture, surtout l'été.

WARD•• a cheerful gardenburger. Thetimetravelerswife09w

Girlyb; flamelove; satine-59@LJ

Nature Whore
Rachel McAdams
Kindlynight

bonjour, qui es-tu ?

Moi c'est Laëtitia, 17 ans, Term ES (vive les ES ). Contente d'avoir retrouvé une motivation et d'aimer son perso.

ta passion après le keno ?

J'me souvenais même plus de ce que c'était XD je croyais que vous aviez mis jreno la première fois que j'ai lu --> *boulet*. Pas de passion particulière à part peut être le lavage de cheveux .

ta fréquence de connexion ?

Souvent connecté, au moins quatre fois dans la semaine mais je garantie pas un temps fou.

eh eh, there's nothing else i can say

Quelle douce sensation que ce drap de soie couvrant sa peau, ajoutée à cela cette légère clim' venant effleurer ses cheveux d'or. Tout ceci ne l'incitait pas à bouger un seul orteil. A vrai dire, pour qu'elle daigne se lever ses jours-ci il lui faudrait au moins..

« Livia...Tu dors ? »

un bon petit fromage blanc accompagné de marmelade à la fraise, suivit d'œufs brouillés..

« Livia, j'ai apporté le petit déjeuné.. »

Une voix d'homme venait de lui chuchoter quelque chose, un truc à propos d'un petit-déj', ni une ni deux l'endormie s'éveilla.

« Merci.. »

dit-elle poliment sans vraiment se souvenir de son interlocuteur mais surtout sans le voir, puis, se tournant vers 'la voix' elle vit une HORREUR. Visiblement l'homme debout devant-elle était 'nouveau' dans son lit – ou plutôt c'était elle qui était nouvelle dans son lit à lui car, elle n'était pas chez elle-. Ne tentant même pas de dissimuler son dégout, elle mima une envie de vomir en désignant de sa main droite le plateau posé sur le matelas : une 'tonne' de charcuterie attendait d'être manger, rapidement Levy s'imagina un gentil cochon de laid la regardant d'un œil mouillé

« Charles. »

euh non

« James. »

non plus

« Michael »

niet

« Nate ? »

Livia soupira non pas d'exaspération mais plutôt d'une sorte de désolation pour ce garçon, qui semblait tout à fait sympa et qui méritait qu'elle se souvienne au moins de son prénom

« Hum. Moi c'est Robby »

dit celui-ci d'un air soupçonneux

« désolé. Je suis végétarienne Robby. »

« Ah. Très bien, pas de soucis je le mangerais plus tard. »

Toujours au lit, Livia se redressa tout en ramenant le drap. Cherchant ses vêtements des yeux, elle les trouva en boule sur le sol

« Je dois filer, fais comme chez toi »

enchaina-t-il la regardant avec un sourire s'entortiller dans les draps. Puis, il lui assigna un clin d'œil, enfila sa veste qu'il tenait en main et sorti de la chambre en regardant sa montre.

A la porte de la GROSSE maison, Livia tenta pour une dernière fois de se remémorer sa précédente soirée, en vain. Elle ne saura donc jamais comment elle se retrouva dans le lit d'un homme habitant CA ? Qu'importe, de toute façon, il ne restera qu'une consolation parmi celles qu'elle a déjà consommée. Le plus déchirant des souvenirs, le plus récent que sa mémoire était capable de lui envoyer restait Duncan dévalant l'escalier, furieux, blessé et définitivement loin d'elle. Un vieux 'Ring Ring' se fit entendre, Livia tout en marchant vérifia le nom de correspondant '1st BIG W.' elle attendit jusqu'à la troisième sonnerie pour juger l'urgence puis décrocha.

« Yep Daddy ! »

« Je meuuuuuuuuuuurs »

« Quoi ? »

« Demain aux infos de 2h20 du matin tu verras mon corps infesté de verres. »

« Qu'est ce que tu veux ? »

« Ramènes toi à la maison, je meurs. »

« Au revoir papa. »

Décidément Bill ne se lasse jamais de son petit chantage. A peine deux jour sans sa femme et il lui joue la demoiselle en détresse; quel gros gosse à barbe. Livia se considérait comme assez gentille d'accepter que trois hommes viennent envahir son havre de paix d'ici une semaine. En priorité il lui faudra réaménager le salon pour y caser un matelas tout en préservant son feng shui d'origine, mais,surtout éviter Carter. Ce mec qui n'est plus pour elle qu'une déception depuis qu'elle l'a trouvé en total nudité dans sa cuisine en compagnie d'une demoiselle dépravée.

Plus que quelques pas avant d'atteindre son chez elle et par le fait sa cabine de douche dont elle se languit.
Seulement du coin de la rue, elle aperçue un déchet, un Carter qui semblait très nerveux et impatient. Cible atteinte dans quatre, trois, deux, un..

« T'ETAIS OU ? »
« Au lit, comme tous les gens normalement constitués qui trouvent que 4h de sommeil ne correspondent pas à une nuit complète. »
« Hors de chez toi ? » Lança-t-il railleur.
« J'ai pas le droit de découcher ? A 25 ans ? »
« J'ai oublié mes clés à l'intérieur. »
« de chez moi ? »
« Oui., c'est évident non ? »
«Boulet. »